(AFP)
JERUSALEM — Israel strongly condemned the Palestinian Authority on Wednesday over an article denying Jewish ties to the Western Wall, which appeared on the Palestinian ministry of information’s website.
The article, a lengthy exposition on the history of the religious site, was written by Mutawakel Taha, the Palestinian deputy minister of information, and appeared on Tuesday.
“The Al-Buraq Wall is the western wall of Al-Aqsa, which the Zionist occupation falsely claims ownership of and calls the Wailing Wall or Kotel,” Taha wrote.
“The Al-Buraq wall is an integral part of the Al-Aqsa mosque and the Haram al-Sharif, which is an Islamic Waqf (religious site) belonging the Muslim Moroccan-Algerian Boumedienne family,” he added.
Mark Regev, a spokesman for Israeli Prime Minister Netanyahu, said the article raised serious questions about the Palestinian government’s commitment to peace.
“If you deny the Jewish connection to the Western Wall you are in fact denying the Jewish connection to Jerusalem and the land of Israel itself,” he said.
“To deny the Jewish connection to the Western Wall is something that we wouldn’t expect from a partner in peace.”
He called on Palestinian president Mahmud Abbas and prime minister Salam Fayyad to “publicly disassociate themselves” from the article.
Palestinian Authority officials refused to comment on the document, and Taha declined to tell AFP whether his statements reflected the Palestinian government’s official stance on the Western Wall.
“I am full committed to the Palestinian Liberation Organisation’s position regarding Jerusalem as the Palestinian capital, and what I wrote is the truth, and the facts of the wall, which Israel is trying to change,” he told AFP.
The holy site is one of the most contentious issues in the conflict and has a history of triggering unrest.
It is revered by Jews as the last remnant of the Second Temple, and is Israel’s biggest tourist attraction.
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Des négociations de paix ne peuvent se faire qu’entre partenaires qui se reconnaissent mutuellement. Force est d’admettre que l’Autorité Palestinienne n’en est pas encore là:
“Le déni de l’Autorité Palestinienne envers le lien historique et spirituel des Juifs avec Jérusalem met en doute ses intentions d’en arriver à un accord de paix, car les fondations d’un tel accord sont la coexistence et la reconnaissance mutuelle” (Benjamin Netanyahu, 24 Nov. 2010)
“Mr. Netanyahu, in a statement issued by his office, said the Western Wall “has been the Jewish people’s most sacred place for almost 2,000 years, since the destruction of the Second Temple.” He added that the Palestinian Authority’s denial of a Jewish link “calls into serious question its intentions of reaching a peace agreement, the foundations of which are coexistence and mutual recognition.”” (NY Times)
Effectivement, les chrétiens sont fort persécutés dans les pays à majorité musulmane. Ainsi que les musulmans qui vont renier leur religion. Les coptes, les chrétiens au nigéria, au sud-soudan, en palestine sous le hamas, ont effectivement le statut de dhimi. Pourquoi pas plus de dénonciation du monde occidental envers ces vrais victimes d’appartheid ?? Pourquoi le terme ”islamophobie” existe, et est abusé pour tout et rien en occident, et le terme ”christianophobie” n’existe pas, et que le problème de ces chrétiens dans le monde arabe est aussi passé sous silence pas la majorité musulmane modéré…
Au Liban, la population chrétienne a quadruplé en 75 ans:
1932 403 900
1985 561 000
2009 1 647360
http://en.wikipedia.org/wiki/Christianity_in_Lebanon
(bien sûr, la proportion de chrétiens diminue sans cesse au Liban.)
Le cas libanais, où il y a eu augmentation significative de la population chrétienne, rend encore plus désolant le cas palestinien, où on note une stagnation.
Au cours des derniers 50 ans, la PROPORTION de chrétiens a reculé partout au Moyen-Orient, mais la population chrétienne a AUGMENTÉ dans la plupart des pays du Moyen-Orient, comme le Liban et, je présumerais, l’Egypte et la Syrie. C’est pourquoi il est frappant, et désolant, de noter que la population chrétienne stagne chez les Palestiniens: cela signifie que la proportion de chrétiens a diminué d’environ 85 % en territoire sous autorité palestinienne.
Dans tout les pays du Moyen-Orient, la PROPORTION de chrétiens a cependant reculé.
Depuis 10 ans (mais les statistiques précises sont difficiles à obtenir), la population chrétienne diminue en Irak et il ne serait pas surprenant qu’elle diminue aussi en territoire sous autorité palestinienne.
Voici certains chiffres à retenir, exprimées en nombre d’habitants chrétiens (1) :
Israël :
1949 34 000
1966 58 000
1972 72 000
1983 94 000
1998 107 000
Nazareth (en Israël)
1922 5 400
1931 5 500
1944 8 600
1961 12 900
1995 18 500
Judée-Samarie (aussi appelée Cisjordanie par les amateurs d’archaïsmes (2))
1944 26 000
1961 35 000
1967 29 000
1978 29 000
1997 35 000
Gaza
1944 1 200
1967 2 500
1997 2 500
(1) Voir site web indiqué au premier commentaire
(2)
http://jssnews.com/2010/11/22/cisjordanie-un-archaisme-a-eviter-au-nom-de-l’histoire-des-faits-et-de-la-resolution-181/
En fait, la population chrétienne ne stagne pas, mais recule chez les Palestiniens, comme partout ailleurs au Moyen-Orient.
La population chrétienne d’Israël a triplé en 50 ans, alors que la population chrétienne des territoires sous autorité palestinienne stagne.
C’est clair: sous autorité palestinienne, le christianisme ne se développe pas, stagne, ou recule. Sous autorité israélienne, le christianisme se développe et grandit. Comme il n’y a dans les 2 phrases qui précèdent aucun angle démonisateur envers Israel, la plupart de nos journalistes ne s’intéresseront pas à ce contraste… Soyons assuré que si le contraste était inversé, un grand nombre d’articles se seraient déjà intéressé à ce sujet…
http://jssnews.com/2010/11/21/les-chiffres-de-la-population-chretienne-au-proche-orient/